Bonjour à Tous.
Quelques jours de congés m'ont permis de faire avancer mon projet. Je voulais finir l'aménagement du compartiment arrière pour les prochaines expositions. Mon soucis était la confection de la table radio. Aucun plan et une seule photo d'époque disponible. Après montage du siège solo de l'opérateur radio et la fabrication d'un coffre à batterie (une batterie auxiliaire était nécessaire pour l'alimentation des postes de radio), je me suis lancé.

Voilà le résultat après quelques heures de découpe et de perçage. J'ai une ossature solide, avec logement spécifique de la roue de secours (déportée sur la gauche à cause du coffre à batterie et surélevée pour ne pas abîmer la conduite de remplisage du réversoir carburant)

Vue prise coté droit. Tout est solidement boulonné (je ne sais pas souder!) et ça ne bouge pas en roulant, je l'ai testé

Mise en peinture de tous ces petits morceaux de ferraille, dans la cour, sur un fil à linge improvisé. Le contraste n'est pas très bon

J'avais également profité des beaux jours pour remettre en peinture toutes les armatures métalliques des sièges arrières, ainsi que les garnitures intérieures des fenêtres et les passages de roues (on est loin du niveau des travaux entrepris en Suisse

).

Réfection des courroies de maintien des accessoires, sous le siège passager arrière gauche. Là encore, je manque cruellement d'informations. Je pense qu'il y avait le brancard pliant (qui passait sous la table radio) et les rails de guidage pour le brancard.

Tout est repeint et remonté! Voilà ce que celà donne. Un plateau en contreplaqué est en peinture pour venir coiffer le chassis. A l'origine, ce devait être de la tôle mais je n'en avais pas sous la main. Le plastique sous la roue de secours protège la barre de soutien des frottements et disparaitra bientôt....
Petite question : comment refait-on les joints "tissu" des tours de portes? Existe-t'il encore ce genre de tissu en vente? Je n'ai pas trouvé d'indication sur le forum.... mais j'ai sans doute mal cherché
Le Criquet
En latin, cogito ergo sum. En français, je pense, donc je suis. En carrosserie, je ponce, donc j'essuie.